La douleur du painal compensée par le plaisir intense que je ressentais.

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il y a 6 ans

La douleur du painal compensée par le plaisir intense que je ressentais.

Je suis étudiante en première année, et je fais du baby-sitting chez plusieurs familles pour gagner un peu de sous. Vendredi soir, je devais aller garder les deux e n f a n t s d’un couple que j’aime bien, Agnès et Pierre. La quarantaine, élégants, sympas, et pas radins pour un sou ! Ils me rajoutent toujours une heure de plus au moment de me payer, c’est cool. Et ils sortent beaucoup. Après, j’avais prévu de rejoindre mon copain. On est un peu dans un trip SM en ce moment, il est très dominateur, et moi, j’aime bien être soumise. J’avais préparé un petit sac avec un petit ensemble en cuir, un plug anal, bref, de quoi le surprendre et passer une bonne nuit !

Quand j’ai sonné à la porte, les deux e n f a n t s m’ont sauté dessus en riant. J’ai été surprise de voir leur père seul. Il m’a dit que sa femme était à un séminaire, et qu’il avait un dîner d’affaires, qu’il rentrerait avant minuit. J’ai couché les e n f a n t s et maté un film sur mon iPad, puis je me suis assoupie. C’est Pierre qui m’a réveillée. J’ai ramassé mes affaires, et là, la honte… J’avais mal fermé mon sac, et le plug ainsi que la culotte fendue en sont tombés, avec mon trousseau de clés et mon passeport. Je suis devenue rouge pivoine. Pierre m’a dévisagée avec un petit sourire énigmatique. Je me suis précipitée pour ramasser, lui aussi, et nos mains se sont rejointes sur le plug. Sa main s’est refermée sur la mienne. Une décharge électrique m’a traversée.

Le reste s’est passé très vite. Il m’a attrapée par les cheveux et a tiré en arrière. Il a ramassé le plug et me l’a enfoncé dans la bouche. « T’aimes ça ? Réponds. » J’ai fait oui de la tête. Il a arraché mon bustier et a enlevé d’un geste ma jupe, dévoilant mon string en dentelle. « Espèce de petite garce, tu vas prendre cher.» Il m’a fait me mettre à quatre pattes et m’a écarté les jambes. Il a récupéré le plug qu’il m’avait enfoncé dans la bouche et l’a introduit sans ménagement dans mon anus. Ça m’a fait mal et plaisir en même temps. J’étais terriblement excitée. Je m’étais déjà branlée en pensant à Pierre, mais il semblait tellement inaccessible… Sa voix m’a ramené à la réalité. « Tu mouilles du cul, grosse cochonne. » Je l’ai entendu défaire sa ceinture. Il m’a collé la tête contre le sol et ramené les bras derrière le dos. Il m’a ligoté les poignets.

Il a ôté le plug de mon cul et me l’a coincé à nouveau dans la bouche. J’ai senti son ventre se coller à mon dos. Sa queue a approché ma chatte et s’est immiscée en moi par petits à-coups. Elle était énorme, j’avais l’impression qu’il m’écartelait. Je me suis mise à gémir. C’était bon. Il m’a tiré les cheveux pour me susurrer à l’oreille de me taire. Il s’est retiré, seul son gland est resté accroché à ma chatte palpitante. Mes lèvres étaient toutes gonflées et endolories. L’odeur de sa transpiration d’animal en rut chatouillait mes narines. Puis j’ai senti sa main s’écraser contre ma joue, et sa queue m’a percée d’un coup sec. Il s’est mis à me fourrer avec une v i o l ence hallucinante. Ma joue râpait contre la moquette, j’avais l’impression d’être un pantin désossé. Une vague de chaleur est partie de ma chatte pour irradier tout mon corps.

Je me suis complètement laissée tomber au sol, mais il m’a f o r c é e à me remettre à quatre pattes, m’écartant les jambes d’un coup de genoux. « Je vais t’éclater le cul maintenant. » J’ai senti son gland luisant s’approcher de mon orifice, et j’ai frémi. Il a d’abord enfoncé le gland en entier. J’ai essayé de m’avancer un peu pour me soulager mais il est reparti à l’assaut de mon œillet. Il a poussé plus fort, rentrant la moitié de son monstre. Il a attendu un peu avant d’y aller d’un coup sec, me déchirant les entrailles. Ses couilles ont heurté mon cul rebondi. Puis, il m’a saisi les hanches. Il a pris possession de mon fondement brutalement. Je n’ai pas pu retenir un cri. « Crie pas, garce », m’a-t-il ordonné avant de me défoncer le cul de plus belle. Mes coudes, mes genoux me faisaient mal, mon œillet était un couloir de feu. Mais la douleur était compensée par le plaisir intense que je ressentais.

Mon corps entier était secoué à chacun de ses coups de queue. C’était serré et brûlant. J’avais les yeux embués de larmes mais je kiffais. J’ai joui en silence, en me mordant la lèvre intérieure si fort que j’ai senti le goût du s a n g envahir ma bouche. Il s’est extirpé de moi et s’est allongé de façon à me fourrer la queue dans la bouche. « Ouvre la bouche », m’a-t-il ordonné. « Mieux que ça. » Je l’ai léché jusqu’à ce qu’il soit bien propre. Ensuite, il m’a enfoncé la queue dans la bouche jusque dans la gorge. Je bavais beaucoup, j’étouffais à moitié. Je l’ai entendu pousser un râle de soulagement, j’ai eu un mouvement de recul mais il m’a maintenu fermement la tête, me giclant au fond de la gorge. J’ai tout avalé.

On est restés allongés sur le sol, côte à côte, pendant cinq bonnes minutes. Puis il a libéré les poignets de leur entrave et il a déposé un baiser tendre sur mon front. J’avais le sexe et le cul tout engourdis, anesthésiés. Je n’osais pas le regarder en me rhabillant. Dans la voiture, on était silencieux. Il m’a raccompagnée jusqu’en bas de chez mon copain et m’a filé les thunes pour le baby-sitting. Depuis, je pense beaucoup à lui. J’attends le prochain baby-sitting avec impatience.

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